Les mots sont faibles pour exprimer ce que je ressens vis à vis des terroristes. Les traiter de demeurés, de cinglés, de lâches serait insulter tous les demeurés, cinglés et lâches de cette terre.
Par ailleurs cet événement m'a évoqué le discours final Chaplin dans le Dictateur, un magnifique discours qui me tient vraiment à cœur et bien que ce ne soit pas le genre de la maison, je voudrais partager.
Note : Dans le film original, cette passage se déroule sans musique. La band-son qu'on entend provient d'Inception et a été composé par Hans Zimmer.
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